Télé Junior (la revue)
J'achetais cette revue qui était le paradis des téléphages du début des années 80.
Je possédais quasiment l'intégralité des numéros !
Le problème, c'est que j'ai découpé plusieurs choses dedans : j'enlevais les BD
hebdomadaire GOLDORAK qui était somptueuses ainsi que la BD sur les Super-héros
à suivre qui était palpitante, pour faire des recueils.
Vers le milieu des années 90, j'en ai eu marre de toutes ces piles de TELE JUNIOR
découpées et j'ai quasiment tout jeté !
Depuis 3ans, je cherche à en récupérer et reconstruite la collection petit à petit ...
Voici une sorte d'historique =
Le titre phare de l’éditeur, Télé-Junior (TJ) sous-titré « le magazine des bd de la télévision » a semble t-il connu 3 séries.
La revue proposait essentiellement des adaptations françaises de dessins animés et séries télé pour la jeunesse diffusés à l’époque sur A2 ou TF1 (dans les émissions « Récré A2 », « Croque-Vacances » ou « Les visiteurs du mercredi ») et dont beaucoup proviennent des studios Hanna Barbera.
A ces bandes venaient s’ajouter interviews et reportages-photos sur les vedettes du moment (stars du petit écran, acteurs de séries télévisées, sportifs, etc.), jeux, posters, programme télévisé (pour la jeunesse) et autocollants...
1ère série : d’abord mensuel de 68 pages (20,5 X 28,5) puis bimensuel à partir du 19ème numéro (le 1er et le 3ème mercredi du mois) de septembre 1977 à octobre 1980, pendant 42 numéros.
2ème série : du 21 octobre 1980 à septembre 1981 (49 n° ?), parution hebdomadaire le 1er mardi puis mercredi de chaque mois : sous titré « le magazine des super héros de la télévision en bandes dessinées ». Absorbe Télé-Parade.
3ème série : une nouvelle formule paraît le 20 octobre 1981, hebdomadaire puis à nouveau mensuelle en juillet 1982. Elle dure au moins 53 numéros
(jusqu’en 1983), proposant aux côtés de Goldorak, San-Ku-Kaï ou Galactica de plus en plus de BD déjà lues ailleurs comme Lucky luke, Achille Talon, La jungle en folie, Le Fantôme, Taar ou Buck Rogers et sans grand rapport avec la télévision : la revue perd alors de sa spécificité.
Malgré cette ouverture, le titre finira par sombrer au bout de deux ans.